Jeudi au village de Kashobwe, fief de Moïse Katumbi, le siège de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) a été vandalisé par des présumés partisans d’Ensemble pour la République.
Ces derniers ont réagi à la destruction le 31 janvier dernier du siège d’Ensemble pour la République à Mbuji-Mayi, fief de Félix Tshisekedi.
Dans un communiqué consulté par infos.cd, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ) a formulé au gouvernement la demande de prendre les « dispositions urgentes » pour faire échec à ce qu’elle qualifie de « nouvelle stratégie de combat politique » entre camps politiques.
Surtout, à prévenir des actes similaires pouvant se dupliquer à travers le territoire national.
L’organisation exhorte l’État congolais à user de son pouvoir pour que « les responsables de ces actes contre le vivre-ensemble puissent comparaître devant les juridictions compétentes.»
Japhet Mukoko (stagiaire)