La ville de Kinshasa, la capitale de la RDC est depuis plus de deux décennies abandonnée entre les mains des affairistes et des clients politiques. Et le comble est que la ville province de Kinshasa, au centre de l’Afrique, reste en arrière par rapport à certaines villes et capitales africaines du point de vue des infrastructures, de la qualité de vie, de l’attractivité touristique et de l’environnement.
Il y a 5 ans, la gestion de la ville à fait objet de tâtonnement et surtout du statuquo. Ce deuxième quinquennat du Président de la République est une occasion en or de pouvoir changer carrément le narratif et faire renaître l’espoir d’un Congo nouveau à travers une ville-capitale qui brille et reflète la grandeur de notre République.
Pendant que l’espoir est en train de renaître, au moment où la décision politique est déjà plus ou moins favorable au changement, il s’observe malheureusement, un réveil rapide et brusque des velléités tribalistes, clientélistes et affairistes pour essayer de d’asphyxier la voix de la raison.
Depuis un temps en République Démocratique du Congo, il s’observe avec amertume une distillation pérenne de la haine de l’autre et le refus du progrès de l’autre dans l’atteinte de ses objectifs, particulièrement au sein de sa classe politique. Alors que le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo avait pris le 24 janvier dernier un nouvel engagement devant le peuple congolais de corriger les erreurs du passé.
En effet, cette correction politique est tributaire d’une volonté ferme d’éjecter toutes les considérations sociologiques et clientélistes ayant contribué à la banqueroute sociale de notre pays, en commençant par la ville-province de Kinshasa, capitale et siège des institutions de la République.
Malheureusement, à chaque fois que s’opère un choix d’excellence pour la gestion de nos institutions, au niveau du pouvoir central ou provincial, quelques congolais véreux et animés de fureur face à l’excellence s’organisent pour diaboliser et monter une industrie des boules puantes.
Depuis quelques semaines la population kinoise constate le retour à la compétition de Monsieur Deo Kasongo pour les prochaines élections des gouverneurs. Connu pour son patriotisme, son sens d’organisation, d’excellence, de professionnalisme et de générosité, Monsieur Deo Kasongo est déjà vu el identifié par la population kinoise comme l’architecte de l’Etat de droit notamment de la bonne gouvernance et de la modernisation de la ville province de Kinshasa.
Monsieur Deo Kasongo est le correcteur des erreurs du passé pour le nouveau quinquennat du Président de la République Félix Tshisekedi, et sera à la hauteur des attentes et aspirations de la population kinoise. On ne saura pas redorer l’image de notre pays sans passer par un aggiornamento administratif de la ville de Kinshasa, qui va impulser le vrai développement de toute la nation congolaise.
Aujourd’hui, la candidature de Monsieur Deo Kasongo au gouvernorat provincial serait une démonstration de la volonté ferme du chef de l’Etat à déconstruire les choix politiques ethnico-tribaux ou clientélistes.
Le profil du candidat gouverneur de la renaissance kinoise et du redressement est bel et bien Monsieur Deo Kasongo, communément et affectueusement appelé par certaines Kinois Monsieur le Manager.
II importe de souligner qu’il est l’un des rares hommes politiques congolais ayant gagné sa vie par son travail, et qui a donné de l’emploi directement et indirectement à des milliers des Kinois et congolais. Combattre la candidature de Monsieur Deo Kasongo c’est combattre la vision de chef de l’Etat pour le redressement de notre République.
Le peuple congolais ne sera plus le souffre-douleur des affairistes politiques, des arrivistes politiques ou encore des parachutés politiques qui ont excellé depuis plusieurs décennies dans l’incompétence, le pillage des ressources financières de notre République. Enfin, l’heure est venue pour que les vrais patriotes congolais servent la République avec bravoure, rigueur et excellence. Patriotiquement!
Maître Kasia Jeriel
Acteur de la société civile, Essayiste et analyste politique