Lorsque le président Félix Tshisekedi évoque l’hypothèse de voir le prix Nobel de la paix être décerné au président des États-Unis, il ne manque pas de lucididité. Ce serait bien une récompense amplement méritée eu égard à l’activisme débordant de ce dernier dans plusieurs conflits qui ont fait couler l’équivalent d’un fleuve de sang à travers le monde.
Dans tous ces conflits, l’on constate que les lignes bougent depuis le retour du président Trump au pouvoir.
Donald Trump vient d’obtenir la signature d’un accord de paix entre le Rwanda et la RDC avec comme retombée directe la fin d’un conflit vieux de plus de 30 ans.
Toujours sous son leadership éclairé, il vient d’obtenir un cessez-le-feu entre l’Iran et l’Israël. Un autre cessez-le-feu est en cours entre les Palestiniens et les Israéliens. Trump s’investit au même moment pour la fin de la guerre entre la redoutable Russie et l’Ukraine, en mettant les dirigeants européens contre mur.
C’est donc un président qui use de son statut d’homme le puissant du monde pour non pas écraser les faibles mais pour peser de tout son poids pour le retour de la paix dans le monde.
Concernant le dossier congolais, il avertit :
« Celui qui va oser violer l’accord de paix entre la RDC et le Rwanda me trouvera sur son chemin ».
L’histoire récente du prix Nobel de la paix nous renseigne qu’en 1994, les anciens Premier ministre Israëliens Yitzhak Rabin, ancien grand officier de l’armée pourtant accusé de crimes contre l’humanité en Palestine et dans les pays arabes environnants et Shimon Peres, ont obtenu ce prix conjointement avec Yasser Arafat, ancien président de la Palestine, traité de terroriste par les Israëliens et leurs nombreux soutiens à travers le monde, a obtenu ce Prix.
Le président Barack Obama a aussi obtenu ce prix au début de son mandat sans un activiste débordant.
En souhaitant l’obtention du prix Nobel de la paix au président Trump, le président Félix Tshisekedi fait là une analyse objective, lucide et cohérente de la situation, conformément aux critères requis pour l’obtention de cette reconnaissance. En effet, le Prix Nobel de la paix est attribué à « la personnalité ou la communauté ayant le plus ou le mieux contribuer aux rapprochement des peuples en faveur de la paix, à la réduction des armes permanentes, à la propagation de progrès pour la paix ».
Il passe sans dire que le président américain remplit ces critères.
Fatshi n’a pas plaidé pour lui-même, même si, en contribuant lui aussi à mettre fin à ce que d’aucuns qualifient de Première guerre mondiale de l’Afrique, il pouvait prétendre à ce prix, n’en déplaise à ses détracteurs.
Aujourd’hui, personne ne peut contester la puissance des États-Unis et le leadership puissant de Donald Trump qui défend les intérêts de son peuple et du monde.
Moïse Moni Della
Porte-parole du peuple
Président du parti Conade
Co-fondateur de l’UDPS
Ministre honoraire de l’Information et de la Presse