Le secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) a quarante-huit heures pour présenter officiellement sa démission.
C’est ce qu’ont déclaré les secrétaires nationaux et tous les frondeurs au sein du parti lors d’une conférence de presse ce jeudi au collège Boboto.
Les auteurs de cette déclaration invitent Augustin Kabuya d’éviter toute effusion de sang, car s’il ne démissionne pas, la base du parti devrait prendre ses responsabilités.
Celui qui se considère en outre comme le président ai de l’UDPS tiendra aussi ce même jeudi un point de presse à Limete.
Dans une déclaration hier mercredi, Kabuya avait appelé à la vigilance de toutes les combattants et combattants car, écrivait-il, l’« ennemi compte déstabiliser le parti et par ricochet le régime ».
Augustin Kabuya est contesté voici plus de deux semaines. Tout est parti d’une correspondance de l’ancien ministre de la santé Eteni Longondo demandant l’organisation d’un nouveau congrès extraordinaire pour réorganiser le parti qui, selon lui, est mal géré.
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