Dans une mise au point en réponse à la coalition Le Congo n’est pas à vendre (CNPAV) [ 🇬🇧 Version anglaise ] parvenue à Infos.cd, Ventora apporte sa lumière.
Ventora estime que la dernière déclaration de CNPAV est un cas d’école de plaidoyer déguisé en analyse. Elle recycle des allégations réfutées de longue date, présente de façon erronée des faits financiers et ignore réalités d’investissement et de risque en République Démocratique du Congo (RDC) au début des années 2000.
Loin de faire avancer la compréhension du public, elle induit davantage le lecteur en erreur par des omissions sélectives et des déformations délibérées. Le point le plus notable: l’analyse de CNPAV ignore commodément le Règlement historique de 2022 entre le Groupe Ventora et le Gouvernement congolais.
Cet accord souverain a définitivement résolu toutes les questions historiques ; il a été précédé d’un audit complet des actifs de Ventora, y compris des Redevances, et a abouti au transfert d’actifs d’une valeur d’environ 2 milliards de dollars à l’État. Approuvé par une majorité écrasante de la société civile en RDC, ce Règlement a marqué la fin conclutive du chapitre concernant les opérations actives de Dan Gertler dans le pays. Les tentatives de CNPAV de rejuger cette affaire close sont non seulement redondantes, mais manquent de respect à la volonté souveraine et à la procédure régulière de l’État congolais.
Le refus de CNPAV de reconnaître ce résultat révèle un agenda fondé non pas sur des preuves, mais sur une hostilité envers l’investissement international. Il appelle à un audit et à un examen complets tout en ignorant l’audit et l’examen exhaustifs entrepris par le Gouvernement congolais dans le cadre du Règlement.






