Le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC) s’est exprimé devant la presse ce lundi à sa sortie de l’hémicycle du Palais du palais où il a participé à la session inaugurale de la nouvelle législature à l’Assemblée nationale.
Celui dont on soupçonne des ambitions pour la Primature ou la présidence de l’Assemblée nationale depuis qu’il a créé la plateforme Pacte pour un Congo retrouvé (PCR) en a profité pour répondre à ses détracteurs.
« Le poste de Premier ministre et celui de Président de l’Assemblée nationale, c’est à la discrétion du président de la République. Je ne suis candidat à rien », a-t-il déclaré, alors qu’il venait d’être hué par des partisans visiblement de l’UDPS quand son nom a été cité lors de la plénière inaugurale.
Le 23 janvier dernier, Vital Kamerhe,
; Tony Kanku Shiku, haut représentant du chef de l’État ; Jean-Lucien Bussa Tongba, le ministre du Commerce extérieur et patron du regroupement politique Coalition des démocrates (Codé) ; Julien Paluku, ancien gouverneur du Nord-Kivu, désormais ministre de l’Industrie et patron d’Alliance Bloc 50 (A/B50) ont lancé officiellement PCR, une plateforme au sein de l’Union sacrée qui revendique plus de 101 députés nationaux élus.
Une démarche qui n’a pas fait l’unanimité au sein de l’ hétéroclite famille politique de Félix Tshisekedi.
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