Jean Thierry Monsenepwo, cadre de l’Union sacrée et candidat aux législatives nationales et provinciales, a clôturé, vendredi à l’Hôtel Rotana, une « Masterclass sur les raisons de réélire Félix Tshisekedi le 20 décembre prochain ».
Durant une semaine environ, Monsenepwo a étalé les réalisations du n°20 à la présidentielle ces 5 dernières années. Des actions phares qui méritent d’être consolidées, selon ce cadre de la majorité au pouvoir. Conscient de l’importance du vote dans la survie de la nation, l’orateur a demandé à son auditoire d’opérer un choix judicieux en refusant d’élire « un candidat manipulé par l’extérieur ».
A l’en croire, au moins 5 raisons devraient pousser les Congolais à renouveler leur confiance à Félix Tshisekedi. En plus d’avoir l’amour du Congo, le président Fatshi s’est impliqué dès ses premiers mois au Palais de la nation à matérialiser la gratuité de l’enseignement.
« Cette gratuité a permis la scolarisation de 5 000 000 d’enfants à travers le pays », a rappelé Monsenepwo.
Autres raisons évoquées, le programme de développement local de 145 territoires (PDL-145T) et la résurrection de la diplomatie congolaise, de l’économie et le regain de fierté de l’Armée nationale.
« Le Président Tshisekedi a donné au pays le moyen de se défendre avec une loi de programmation qui permet à notre armée de s’équiper en milliards et cela répond aux dangers qui guettent notre pays depuis plusieurs années en termes de balkanisation, agression comme ce que l’on vit ce jour », a-t-il avancé en dernier lieu.
Après la Masterclass, l’orateur a constitué un noyau baptisé « Les ambassadeurs de Félix Tshisekedi Tshilombo ». L’action sera étendue à Kinshasa. Objectif : faire large sensibilisation à la réélection de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, candidat à sa propre succession. Pour réellement « consolider les acquis » du premier mandat de Fatshi, Monsenepwo est d’avis qu’il lui faudra non seulement une majorité confortable mais aussi des parlementaires capables d’estomper l’hémorragie. Le numéro 458 à Lukunga se veut un candidat idéal pour se pencher aux difficultés qui gangrènent cette partie de Kinshasa.
Yvette Ditshima