Le chanteur Koffi Olomide a « interdit formellement » certains chroniqueurs de la musique congolaise de citer son nom lors de leurs émissions diffusées sur différents supports (Télévision, YouTube, etc.)
Il s’agit de Naty Lokole, Ken Mpiana, Thierry Mombaya, Vincent Tshiluizi Aydor, Chantal Bola, Popol Mupasula et Mbuta Likasu.
Ces différents chroniqueurs ont été saisis à cet effet par une lettre du chanteur qui reprend en copie le procureur général, tout en prévenant qu’en cas de refus d’obtempérer à sa volonté, il va porter l’affaire en justice.
« Je suis au regret de constater que mon nom est cité abusivement et sans vergogne à longueur de journée dans vos chroniques musicales, ternissant ainsi mon image et allant jusqu’à porter atteinte à ma vie privée », a avancé Koffi Olomide, non sans marquer son « opposition catégorique à cette pratique aussi légère et sans scrupule ».
Le patron du Quartier latin a rappelé à ces chroniqueurs que leur « agissement constitue une violation de l’article 31 de la constitution de notre pays qui garantit le droit à la vie privée ».
A Kinshasa, Koffi Olomide se retrouve au cœur de l’actualité musicale à la suite de son récent divorce d’avec sa femme Aliane, après plus de 25 ans de mariage.
A ce divorce s’ajoute l’arrestation d’une youtubeuse, Manike, sur plainte de la protégée de Koffi Olomide, Cindy Le Cœur. Cette dernière serait, selon des rumeurs persistantes qui courent la rue à Kinshasa, à la base du divorce entre Koffi Olomide et son désormais ex-femme. Ce, étant donné que Cindy entretiendrait une relation amoureuse avec son patron depuis bien de temps.
La fille « préférée » de Koffi Olomide, Didi Stone, a fait une sortie la semaine dernière sur ses réseaux sociaux pour s’en prendre à son père, l’accusant d’avoir « humilié » sa famille en exportant les linges sales sur le lieu public.
Laurent Omba
