À l’Assemblée nationale, les députés ont adopté lors de la plénière de lundi dernier, plusieurs propositions de loi.
Parmi celles-ci, il y a la proposition de loi portant principes fondamentaux relatifs à la formation professionnelle, présentée par le député Jacques Ndjoli Eseng’ekeli.
Pour son auteur, cette loi est « option cruciale » pour la stabilité du pays.
« La formation professionnelle est une nécessité pour la jeunesse. Sous d’autres cieux, on ne peut pas aller à l’université sans apprendre un métier. Elle constitue un outil de paix et de cohésion nationale par sa forte capacité de réinsertion sociale », a déclaré le député.
Dans plusieurs pays, la formation professionnelle compense les jeunes qui ne peuvent pas aller à l’université. Elle apporte bénéfices et avantages aux individus et entreprises.
Elle offre aux individus la possibilité de développer leurs compétences et d’accroître leur employabilité sur le marché du travail. Elle permet de rester compétitives dans leur domaine de prédilection. Pour les entreprises (organisations), la formation professionnelle garantit que les employés sont compétents dans leur rôle et à augmenter la productivité globale.
Deux autres propositions de loi ont été adoptées : la nouvelle loi sur le statut des magistrats et celle portant sur la création, l’organiser le fonctionnement des tribunaux de commerce.
Giscard Havril Mane