C’est parti avec les activités du mois de mars à la fédération de la Convention des démocrates travaillistes unifiés (CDTU) du Kasaï Central. Le ton a été donné jeudi par le maire adjoint de Kananga au siège de cette formation politique.
A l’occasion, une soirée de réflexion couplée à un débat sur l’éducation numérique face à l’autonomisation et l’apport de la femme était organisée par la ligue des femmes de la fédération Kasaï Central de la CDTU.
Jaudel Nkashama Mupoyi, a salué l’engagement et la fidélité des femmes à sa formation politique membre de l’Union sacrée de la nation. Il s’est réjoui de la participation massive de femmes à cette activité.
Poursuivant son speech, Nkashama Mupoyi a invité ces femmes de s’enrôler avant la clôture des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs dans la deuxième aire géographique.
« Vous ne pouvez pas être membre d’un parti politique sans la carte d’électeur. Nous prônons la participation politique massive des femmes. La CDTU va aligner des candidates aux législatives de décembre prochain », a-t-il expliqué.
Il les a aussi invitées à implorer la grâce divine pour le retour de la paix à l’Est de la République Démocratique du Congo.
Berthe Tshiebeji, présidente de la ligue des femmes, a quant à elle encouragé les femmes et jeunes filles à ne jamais baisser les bras face à leur engagement en politique au sein de la CDTU. Propos réitérés par le maire adjoint de la ville, qui a rappelé le rôle majeur que la femme joue dans la société.
La conférencière du jour s’est entretenue avec les femmes l’éducation numérique paritaire, le rapport entre le numérique et la paix, l’éducation numérique face à l’autonomisation de la femme et en fin, l’éducation numérique, la femme et les élections au Kasaï Central. La cheffe de travaux Jacqueline Tshibuabua à appeler les femmes de la CDTU à bien utiliser le téléphone.
Les femmes de ce parti seront sur le terrain durant ce mois de mars pour mener différentes activités en faveur de la communauté. Il est prévu des actions caritatives dans les orphelinats, maisons pénitentiaires, etc.
Bernard Padikuba