A travers le ministère des droits humains, le gouvernement congolais condamne les « actes de répression » contre les manifestants de l’opposition.
Ce samedi, dans la commune de Ngaba, des affrontements ont été signalés entre les manifestants de l’opposition qui accompagnaient leurs leaders (Katumbi, Matata, Fayulu, Sesanga ) et les forces de l’ordre.
Des blessés et une dizaine d’interpellation ont été déplorés dont l’agression d’un mineur.
« Les actes de brutalité tant sur les mineurs, les compatriotes majeurs que sur les acteurs politiques ne sont en aucune façon acceptables », a écrit Fabrice Puela, ministre des Droits humains, qui appelle à des enquêtes urgentes « pour que des responsabilités soient établies… »
L’opposition a voulu marcher ce samedi contre la vie chère, l’insécurité et un processus électoral “ chaotique ”. Sa marche a été réprimée n’ayant pas respecté l’itinéraire imposé par le gouverneur Gentiny Ngobila.
Socrate Nsimba