Quarante-huit heures après la validation de sa candidature par la Cour constitutionnelle qui a rejeté la requête de Noël Tshiani demandant l’annulation de son dossier pour détention de la nationalité italienne, Moïse Katumbi s’est expliqué dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.
Le président du parti Ensemble pour la République a salué « l’attitude de la Cour Constitutionnelle et de la CENI pour le traitement équitable des candidatures à l’élection présidentielle ».
« Je les exhorte à garder la même attitude jusqu’à la fin du processus électoral en vue de redorer l’image de notre pays », a-t-il déclaré, dénonçant ainsi des mensonges, diabolisation, montage grossier et manipulation à son égard.
En 2018, Moïse Katumbi, contraint en exil et poursuivi par la justice au pays, n’avait pas pu présenter sa candidature à la présidentielle. C’est désormais chose faite cette fois-ci.
Il promet de dévoiler dans les prochains jours un « programme chiffré » et dénonce une gouvernance « chaotique » du régime de Félix Tshisekedi.
Socrate Nsimba